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COMMENT BIEN SE PREPARER...

Frenchmans Beach - North Stradbroke Island (QLD)

Dans notre idée, une bonne préparation procure un esprit plus serein, parce que ça doit être drôlement agaçant de devoir gérer une galère à 17.000 km de distance au lieu de siroter une bière fraiche sur la plage… Mais certains préfèrent l’improvisation et le piment qui va avec, à vous de voir !

Au menu, donc, les tracasseries administratives (du style impôts, assurances, visas…) et bien sûr l’anglais !

 

Check-list

Faite avant mon depart... Sans doute pas adaptee a tous mais ca peut vous donner les grands lignes

Impots & banques

Eh oui, en France comme en Australie, l'argent est un sujet a part entiere !

U spik amgliche ?

Si vous comptez vous en sortir directement avec de tres vieux souvenirs du college, ca peut etre complique !

Travel tips

Quelques petites notes, prises au fur et à mesure de nos voyages... Sans aucun engagement cela va de soi !

Au départ, j’avais l’intention de faire un article le plus complet possible mais au vu des sites qui le font déjà très très bien, je vais juste compléter avec mon expérience personnelle ou les éléments que je n’ai pas trouvé ailleurs… Et compléter chaque section de liens utiles !

Sand dunes - Moreton Island (QLD)

CHECK-LIST PREPARATION

 

J – 12 mois

  • Checker la date de validité du passeport, le refaire le cas échéant (en France, prévoir environ 3 semaines de délai)

  • Faire la demande de Working Holiday Visa sur le site de l’immigration australien (prévoir entre un jour et deux semaines de temps de réponse, moi je l’ai eu en quelques heures. Vous pouvez aussi attendre d’être plus près de la date du départ : vous avez 12 mois pour mettre les pieds sur le territoire australien, à la suite de quoi votre délai d’un an commencera à courir)

 

J – 6 mois

  • [Cas d’une année sabbatique] Faire un courrier recommandé pour en voir les modalités avec votre entreprise

  • Contacter la Mutuelle et, le cas échéant, la Prévoyance ou autre assurance de ce type

  • Contacter votre centre des Impôts (voir rubrique dédiée)

  • Prendre les billets d’avion (il ne vous sera pas possible de prendre le billet retour mais il existe un tas de formules vous permettant de le changer plus tard… A moins de ne prendre que le billet aller !)

 

J – 4 mois

  • Réserver ce qui doit l’être en Australie (famille au-pair, école de langue…)

  • Voir ce qui doit être fait de votre voiture et de votre logement (préavis de départ ou mise en location).

  • Prendre un rendez-vous avec votre banque pour voir les implications de votre départ et les tarifs associes (retrait a l’étranger, virement, etc…) et/ou envisager d’ouvrir un compte BNP ou Hello Bank (voir rubrique dédiée)

 

J – 2 mois

  • [Si vous êtes du genre stressé ou si vous voulez transférer les 5000 $ requis avant le départ] Préparer l’ouverture d’un compte en banque en Australie

  • Comparer et souscrire à une assurance spécialisée PVT/WHV (pas obligatoire mais franchement recommandé, les couts des soins et des hôpitaux en Australie étant prohibitif)

  • Si nécessaire, organiser la réexpédition temporaire du courrier postal en France (pour un an, il m’en a couté une quarantaine d’euros, le site internet de La Poste est de ce point de vue très clair)

  • Faire faire votre Permis de conduire international (même si vous n’avez a priori pas l’intention de conduire en Australie, gardez en tête que ce pays est conçu pour les voitures !)

  • Prendre un rendez-vous chez le médecin, pour faire le point, renouveler ce qui doit l’être… L’Australie ne demande pas de vaccins particuliers mais autant être en bonne santé avant de quitter la France !

 

J – 1 mois

  • Editer et signer les procurations nécessaires (notamment auprès de votre banque, ça peut toujours servir…)

  • Débloquer le téléphone pour qu’il puisse accepter toutes les cartes SIM

  • Acheter un guide de voyage (en anglais ça peut être malin… Cela dit, personnellement je n’en ai pas acheté et ça ne me manque pas) et/ou un plan de ville (jetez par exemple un coup d’œil sur les cartes de chez Palomar, super efficaces !)

  • Résilier les contrats liés au logement : Internet, électricité, gaz…

  • Contacter la Sécurité sociale (il n’y a pas de convention entre la France et l’Australie, la couverture sera donc tout simplement interrompue, et les cotisations ne sont pas bien entendu plus à payer)

  • Réserver son logement pour les premiers jours en Australie (auberge de jeunesse, hôtel, couchsurfing, Airbnb... aujourd’hui les options ne manquent pas !)

 

J – quelques jours

  • Préparer ses bagages, habits et équipements indispensables

  • Changer le message du répondeur téléphonique

  • Imprimer et scanner les documents à ne pas oublier (visa, attestation d'assurance, billet d'avion, relevé bancaire (attestant les fameux $5000)…)

  • Abandonner ou modifier le forfait téléphonique (pour ma part je voulais garder mon numéro français, et j’étais déjà chez Free, je suis donc passe au forfait à 2 € par mois)

  • Envoyer un courrier à la CPAM (avec la carte vitale et une lettre indiquant la date du départ et la durée du voyage, à confirmer avec eux)

 

J + quelques jours

  • Ouvrir un compte bancaire ou valider l’ouverture du compte bancaire (si vous l’aviez anticipé)

  • Trouver le forfait téléphone le plus adapté (vous avez 3 principales enseignes, Optus, Vodafone et Telstra, leurs offres se valent plus ou moins, même si Telstra est toujours un brin plus cher, de quoi compenser son meilleur réseau !)

  • Faire la demande de Tax File Number, directement en ligne

  • PROFITER !!!

LIENS UTILES

Un ensemble d'articles bien conçus sur le site Kowala: http://kowala.fr/conseils-pvt-whv-eic-etapes-preparatifs/

Tangalooma Beach - Moreton Island (QLD)

CHECK-LIST

IMPOTS

 

Avant votre rendez-vous avec les impôts, faites la liste de vos revenus pour en voir les implications (par exemple pension versée par vos parents ou mise en location de votre logement…), j’imagine qu’il y a autant de cas particuliers que de personnes concernées !

Dans mon cas, tout était déjà dématérialisé (avis, déclaration…) et mensualisé (paiements), mon départ n’a donc pas changé grand-chose… Quelques précisions néanmoins, à propos des déclarations que vous aurez à faire depuis l’autre cote du globe :

# Impôts fonciers : le départ ne change rien, ces impôts sont dus au même titre que tout citoyen français « normal ».

# Taxe d’habitation : comme vous le savez sans doute, elle est à payer pour le logement que vous occupez en France au 1er janvier de l’année. Pour le logement que vous occupez en Australie au 1er janvier, bien entendu aucun impôt n’est dû en France (ni en Australie d’ailleurs).

# Impôts sur le revenu : suivant votre situation et la date de votre départ, ils seront à payer de manière partielle. Quelques précisions liées à la particularité de vivre un temps en Australie :

– Si, comme c’est probable, vous ouvrez un compte bancaire à l'étranger (l’Australie n’est pas Panama !) : cochez la case 8UU du formulaire 2042 et complétez l’imprimé N° 3916 (il est aussi possible de compléter les mêmes informations sur papier libre)

– En cas de mise en location de votre appartement (meublé dans mon cas, par flemme de tout déménager…) : cochez la case 5HA du formulaire 2042 C-PRO, aucune autre démarche n’est à faire.

– Les éventuels salaires australiens sont à déclarer via la case 8TI du formulaire 2042.

# Votre domicile fiscal est à checker avec le « Service Non résidents » car il dépend de vos dates de séjour.

 

BANQUE

 

La gestion de l’argent… Nerf de la guerre dans tous les domaines, un voyage comme celui-là ne fait pas exception ! Il vous faut impérativement checker avec votre banque combien cela vous coutera de transférer ou de retirer de l’argent en Oz. SI je peux me permettre, insistez pour avoir une réponse claire ! Cela peut paraitre évident mais il est fréquent qu’un banquier oublie de vous préciser que 3 types de frais peuvent s’appliquer : la commission prélevée par la banque française, celle prélevée par la banque australienne et les frais de change (comment savoir qui décide ce que vaut l’euro face au dollar australien ?...)

Après pas mal de recherches (parce que je suis ignorant en finance internationale mais que je n’aime pas me faire enfler) et quelques rendez-vous (avec ma banque, ou encore chez HSBC, réputée pour l’international), j’ai décidé d’ouvrir un compte chez HelloBank, version dématérialisée et gratuite de BNP Paribas, qui présente le même avantage de ne pas prélever de frais sur les retraits d’argent dans ses banques partenaires à l’étranger.

Malgré beaucoup d’avis négatifs vus à propos de cette banque sur le Net, je me suis lancé. En gros, entre l’envoi du formulaire et des pièces justificatives et la réception de la carte bancaire, comptez 6 bonnes semaines. Je précise ce détail car la banque n’est vraiment pas claire sur les délais, mais elle est très réactive par téléphone (5 minutes) ou par chat (30 secondes). Du temps où je suis resté chez eux, j’ai été globalement satisfait de leurs services. Je suis maintenant chez BNP Agence en Ligne car HelloBank m’a appris en cours de route qu’elle était réservée aux citoyens français résidents en France… Cela ne semble pas poser de problèmes à la plupart des autres bagpackers mais pour moi, allez savoir pourquoi, ce n’est pas passé tout seul !

 

Détails pratique :

– il faut environ 48h pour qu’un virement ou un dépôt d’argent soit comptabilisé, 24h pour un virement de compte a compte au sein de la même banque.

– les retraits sont bien gratuits dans les distributeurs du réseau de partenaire BNP (dont Westpac fait donc partie). Pour être tout à fait précis, le taux appliqué est celui du réseau Visa qui, lui, se fait une marge de 1% environ.

LIENS UTILES

Un article Kowala très bien fait: http://kowala.fr/transferer-gratuitement-argent-australie-canada/

Sunset behind the Harbour Bridge - Sydney (NSW)

IMPOTS BANQUE

DO YOU SPEAK ENGLISH ?

 

Si vous vous demandez s’il est possible de s’en sortir en Australie sans parler la langue de Shakespeare, demandez-vous si l’inverse serait envisageable ! Plus précisément, oui c’est possible, en restant entre français et en visant des boulots dans des fermes ou ne nécessitant pas trop de contacts avec les locaux… Mais vous passeriez à côté de plein de choses, de rencontres et de coins connus des seuls australiens (qui, de ce que nous avons pu voir, ne connaissent parfois que leur secteur mais le connaissent bien !).

Partons donc du principe que si vous allez en Australie et non au Québec c’est aussi pour devenir bilingue (ou au moins pouvoir regarder Game of Thrones le jour de la sortie US), quelques astuces faciles à mettre en place avant même votre départ :

1. Switchez votre téléphone, ordinateur, softwares et autres écrans en anglais. C’est très simple à faire, pas trop déstabilisant grâce aux icones et ça vous permettra de maitriser au moins quelques mots utiles !

2. Regardez les films américains en VO, avec les sous-titres anglais. De par mon expérience, les sous-titres français obligent à une gymnastique face à laquelle mon cerveau a vite déclaré forfait… Mais pour démarrer en douceur, rien ne vaut de revisionner vos films préférés en anglais, vous constaterez également que le doublage dans la langue de Molière peut parfois être (franchement) approximatif

3. Même chose pour les livres : fan de Harry Potter ou du Seigneur des Anneaux ? Relisez les bouquins en anglais ! C’est assez facile à trouver dans les bibliothèques, y compris les petites. D’abord ça vous occupera et ensuite ce sera un excellent exercice, sans être découragé par le fait de ne pas comprendre tout à l’histoire…

4. Un bon entrainement, un peu plus difficile, est de suivre les informations anglaises ou américaines (BBC, CNN…) : c’est intéressant, plutôt court (vous aussi vous sortez votre smartphone dès que vous avez plus de 3 minutes à attendre ?) et cela recoupe généralement (ou pas tout à fait…) nos propres informations nationales.

5. Si vous en avez la possibilité, immergez-vous dans un pays anglophone quelques temps, pour les vacances ou en partant au pair, par exemple. A défaut, intégrez des groupes de discussion… Ça peut être dans votre ville (à Toulouse, certains cafés organisent des « soirées langues étrangères » très intéressantes, ou via Facebook.

6. SI vous en avez le temps et les moyens (car ça coute cher), envisagez une école d’anglais pour quelques semaines : bien évidemment cela ne vous rendra pas bilingue mais ça permet de faire revenir les bases (qui reviennent vite !) et ça permet de rencontrer très vite pas mal de monde dans une situation similaire (bon, ok, pas des australiens, bien sûr, mais c’est un début !).

 

On dit souvent que l’anglais des français est désastreux… De mon point de vue c’est nettement exagéré, exception faite de l’accent : en général on se fait griller en moins de dix mots ! Mais ça ne semble pas être un problème dans la mesure où les australiens le trouvent « cute » (mignon)… Néanmoins, une fois en Australie, il y a quelques règles absolues à suivre si vous voulez réellement progresser en anglais :

# Eviter de passer trop de temps avec des français (il est très difficile d’avoir assez de discipline pour parler anglais entre français !)… Ça a l’air simple comme ça, ça ne l’est pas tant que ça tant la nature humaine pousse à nous regrouper avec les gens qui parlent la même langue !!

# Lancez-vous, osez ! Pas la peine d’être super bon pour arriver se faire comprendre et malheureusement, il n’y a qu’en forgeant qu’on devient forgeron… Sachez qui plus est que les australiens sont habitués à entendre les nationalités du monde entier essayer de baragouiner l’anglais : vous ne serez donc pas le premier !!

# Poursuivez l’immersion complète : empruntez des bouquins en anglais, matez des DVD américains (ou australiens, z’avez pas envie de revoir « Hartley Cœur A Vif » ?), avec sous-titres (anglais of course) si vous en éprouvez le besoin…

 

Mais si vous arrivez, en quelques mois vous verrez comme tout devient facile… Et ça vaut vraiment le coup !

 

Oh, et une dernière précision, quoique subtile : en Australie, l’anglais utilisé est beaucoup plus proche de l’anglais anglais que de l’anglais américain, même si les séries américaines ont autant d’influence ici que chez nous…

LIENS UTILES

Un dico de 'slang' bien pratique pour comprendre ce que l'autochtone vous raconte : http://www.urbandictionary.com/

Besoin de réviser les verbes irréguliers ? http://www.englishpage.com/irregularverbs/irregularverbs.html

ENGLISH

TRAVEL TIPS

 

Quelques petites notes, bien évidemment à prendre ou à laisser, sur la philosophie que nous tentons d’appliquer en voyage… Qui pourrait se résumer par le précepte chinois « Agir pour le meilleur, se préparer au pire et accepter ce qui vient »…

 

1_ RELAX !

Il y a les adeptes de la dernière seconde et ceux qui préparent... Nous on fait partie des gens qui préparent l'essentiel et gardent l'improvisation pour les détails : pour limiter le stress et pouvoir profiter au maximum, la meilleure clé que nous avons trouvée est la préparation ! On a donc un peu de matériel, et un tas de check-lists pour éviter d'oublier de prendre le shampooing, de réserver le camping ou de checker si le super-resto-qu'on-a-vu n'est pas ferme le mardi...

Par contre, tout ça prend un peu de temps, et mieux vaut toujours se poser quelques temps à l'avance, il n'est pas rare de devoir rappeler les mecs parce que le bon gusse n'est pas disponible, ou de se retrouver coincé par une deadline ou une autre...

 

2_ FORGET (AND LEARN) !

Sans doute le point le plus important de tous… Les choses peuvent paraitre similaires à notre culture et être pourtant tout à fait différentes... C'est plutôt évident dans des pays comme le Vietnam ou la Thaïlande, cela peut être une source de déconvenue dans des pays comme l'Australie ou la Nouvelle-Zélande... Par nature, nous voyons tout au travers de notre prisme culturel, dans lequel les choses fonctionnent -bien ou mal- d'une certaine façon et suivent -ou pas- une certaine logique : en voyage il faut forcer son esprit à intégrer l'idée qu’absolument RIEN n'est évident. Que ce soit les transports, les logements, les prix, les horaires, les codes de conduite, la nourriture, RIEN ne coule de source !

Vous avez 250 kilomètres d'essence dans le réservoir et vous pensez avoir largement le temps de trouver une station-service h24 ? Essayez dans le Wyoming (US) ou sur la Bay of Island (NZ), pour voir...

Vous pensez vous arrêter au feu rouge, comme d'habitude ? A Denver (Colorado), prenez garde, ceux-là sont de l'autre cote du carrefour...

Vous vous dites qu'il sera forcément facile de prendre un train depuis l'aéroport d'une grande ville organisée ? Essayez à Singapour après 22h30, pour voir...

Vous pensez qu'entre deux villes importantes, il doit y avoir un système un tant soit peu organise de transports publics ? Tentez le coup au Cambodge

Vous pensez bien entendu pouvoir acheter un ticket de bus auprès du chauffeur ? Essayez à Dubaï, vous verrez...

Vous avez préparé exactement l'appoint pour le prix indiqué sur la note de restaurant ou du magasin de souvenirs ? Aux USA, ou les prix sont indiqués hors taxes et hors service, vous allez vous attirer des ennuis !

 

En clair, laissez vos préjugés (même les plus basiques) à la maison, et renseignez-vous ! Internet est une bonne source, évidemment, mais les gens du cru et les institutions locales sont souvent encore meilleurs ! Comme le disait un prof de l'INSA. "il n'y a pas de questions stupides, seules les réponses peuvent l'être : mieux vaut avoir l'air bête 5 minutes que de le rester toute sa vie"

 

3_ SLOW DOWN !

Prenez le temps... Il est tentant de vouloir optimiser le planning au taquet, mais vous prenez alors le risque de passer à côté de certaines choses, comme un coucher de soleil sur une île de sable du Queensland ou le réveil des vers luisants dans les grottes de Springbrook NP...

De même, rien de mieux pour découvrir un coin que de le parcourir au rythme des gens du coin : la voiture peut être très adaptée dans le Middle-West américain mais sera un véritable boulet pour explorer Sydney… Certes il y a des avions entre les différentes villes mais les 500, 1000 ou 2000 kilomètres qui les séparent peuvent valoir le coup d’être parcourus aussi ! Il peut même y avoir des astuces pour le faire à moindres frais (auto-stop, partage de voiture…) voire gratuitement (voir par exemple le site https://www.transfercar.com.au/ qui offre des relocations de voitures sur longues distances en Australie !)

Enfin, il y a un côté « à mériter » qui font que certaines ballades doivent prendre du temps et demander des efforts : apprécieriez-vous autant les châteaux cathares ou bien les volcans du Tongariro NP s’il ne fallait pas une « petite » randonnée pour les admirer ?

 

4_ DARE !

Avez-vous vu les films « Yes Man », « We bought a zoo » (Nouveau départ, en France) ou « Walter Mitty » ? Ce n’est même pas une recommandation que nous devons faire. C’est un ordre, vous devez les voir ! Ils ont été de véritables déclencheurs pour se dire que oui, c’est possible, moi aussi je peux le faire si je m’en donne les moyens… Tout est possible, ouvrez votre esprit, ne vous posez pas 36 questions trop longtemps, osez et foncez !

 

5_ SMILE !

Amber pourra vous dire que moi le premier je ne suis pas doué pour appliquer ce type de conseils… Et ce même si notre expérience me le prouve quasiment chaque fois !

C’est en effet assez incroyable comme tout devient plus simple quand on aborde les choses de façon positive, avec le sourire ou en tout cas avec la volonté. Ça parait évident ? Et même facile ? Certes. Ce qui l’est moins est de garder le sourire et la bonne humeur quand les choses partent de travers, quand un imprévu vous tombe sur la coiffe, quand le programme prend d’un coup une heure de retard, quand un truc est fermé ou quand la météo ne joue pas le jeu…

Pourtant, vous devez essayer de garder à l’esprit que même une mauvaise nouvelle peut finalement s’avérer être une bonne nouvelle. Non, ce n’est pas une question de religion, je vous donne deux petits exemples :

Si la route n’avait pas été bloquée par des travaux, nous serions arrivés à l’heure au Hobbiton Movie Set (NZ) mais nous aurions fait la visite sous les nuages… Tandis que « grâce » à ça (et pourtant soyez sûrs que la bonne humeur était partie faire un tour à ce moment-là…), on a pu prendre des photos sous le soleil !!

S’il avait fait beau le soir où nous sommes retournés voir les vers luisants de Springbrook NP, nous aurions certes vu des lucioles mais nous aurions loupé les champignons phosphorescents…

 

6_ ENJOY THE PRESENT !

(La formule anglaise est beaucoup plus jolie, pour qui comprend les deux sens -qui se rejoignent, bien entendu- du mot)

Ça parait évident, mais réfléchissez-y bien et vous verrez que ça n’est pas si facile : on cherche toujours à se projeter dans l’avenir (ou bien à regretter le passé, cela dépend des gens…) et finalement on ne profite pas toujours pleinement des gens qui sont là, des moments qui nous sont offerts…

Alors parfois, déconnectez votre téléphone, même s’il y a du réseau, déconnectez votre esprit de ses préoccupations temporelles et profitez, profitez, profitez !!!

TRAVEL TIPS
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